nous nous arrêtons à Figueira Da Foz pour refaire le plein d'essence. Déjà
à notre arrivée un douanier nous fait signe de s'amarrer à un blog de
béton trop haut pour notre bateau. Les formalités faites, nous allons
trouver une place dans le port et payer notre place. Bizarrement, la
personne à l'accueil nous dit qu'il est impossible d'accéder aux pontons
si on a pas de téléphone portable. Fatigués de notre dernière navigation,
on ne comprend pas très bien. Il rajoute d'un air narquois que sans
téléphone il nous faudra nager pour rejoindre le bateau. Pensant que c'est
une blague nous attendons qu'il finisse par trouver une solution, mais ça
ne viendra pas. Excédés, nous lui demandons de nous rendre notre argent et
partons de son bureau. On décide de rester pour faire le plein d'essence
(nous devons partir en ville car celle de la marina est cassée), manger
et se reposer. Par chance, après la recharge d'essence, le portail des
pontons était laissé ouvert. Nous n'aurons pas besoin de l'escalader.
Nous sommes repartis ce matin à 7.00, direction Cascais, contents de
quitter cette grosse ville bétonnée qui de toute façon ne valait pas une
escale prolongée.
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3 commentaires:
Heureux d'avoir de vos nouvelles , Pas trop sympa cette escale mais c'est les inconvénients du voyageur ! Visiblement vous faite souvent le plein d'essence, il n'y a pas de vent?.. Racontez nous !... J&B ( maman et papa)
Coucou, moi qui vous ai vanté l’accueil des portugais !!! Dommage pour vous, c'était celui qu'il ne fallait pas rencontrer, est ce qu’il ne voulait pas un pot de vin, tout simplement ???
Vos estomacs, ils en sont où???
En attente de vos photos et du récit de votre périple... Courage et bon vent... bernadette monnier
Coucou Maud,
J'ai appris par Lucie et ta maman que tu partais avec ton mari pour un tour du monde en bateau, je voulais t'adresser toutes mes félicitations pour un tel projet. Je souhaite vraiment que vous réussissiez car vs devez vivre une aventure humaine extraordinaire qui va sous rendre "invulnérables".
Encore ttes mes félicitations et bon vent. Josette Guidi qui n'a jamais oublié son élève du CM2.
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